mercredi 23 mai 2007

Venez découvrir notre nouveau site

Bonjour,

Venez visiter le nouveau site Katisa Editions ©

sur http://www.katisa-editions.com

Vous y trouverez :

- de nouveaux cadeaux gratuits
- plus de catégories d’articles
- de nouveaux articles dans chaque catégorie
- plus de tests et de quizz
- plus de DVD motivants

Alors n’hésitez plus, rejoignez-nous sur

http://www.katisa-editions.com

Nous espérons que ce nouveau site vous plaira.
N’hésitez pas à nous confier vos impressions.

Bien amicalement,

Brunet Isabelle et Gawelik Katy
Créatrices de Katisa Editions
Vivez la Vie dont vous rêvez !
http://www.katisa-editions.com

mercredi 16 mai 2007

Soyez généreux, cela ne coûte rien !

- Donnez votre sourire à chaque personne que vous rencontrez. Un sourire ne coûte rien mais il produit beaucoup. Même s’il ne dure qu’une seconde, il peut remonter le moral, donner du bonheur.C’est l’acte le plus généreux qui soit car le sourire ne peut s’acheter, se vendre, se voler. Il n’a pas de valeur en lui-même pourtant il peut valoir énormément pour celui qui le reçoit.

- Donnez du rire, de la bonne humeur, de la joie de vivre. « La gaieté est la moitié de la santé » (proverbe tchèque). Une étude a même démontré que le rire pouvait jouer un rôle dans la prévention de maladies cardio-vasculaires. Soignez votre entourage, donnez-lui chaque jour quelques gouttes de votre bonne humeur. N’ayez crainte, il n’y a pas d’effets secondaires, c’est à consommer sans modération !

- Donnez du temps autour de vous. Une visite, même si elle ne dure que 5 minutes, peut faire beaucoup pour la personne visitée car vous serez peut-être sa seule rencontre de la journée, son seul rayon de soleil.

Mettez de l’abondance dans votre vie et dans la vie de chacun. Devenez des donneurs. N’oubliez surtout pas que l’on récolte toujours ce que l’on sème !

mardi 15 mai 2007

Gagnez à être zen !

« Calme et force sont, a priori, antinomiques. » Si vous pensez cela, c’est que vous n’avez pas compris un élément fondamental qui doit gouverner votre vie : force ne signifie pas puissance, brutalités, domination…
La force est une énergie que vous accumulez en vous et qui vous permet d’accomplir de grandes choses. C’est d’ailleurs la base de la réussite.
Or, cette énergie, c’est vous qui la produisez. Elle est en vous : chaque être humain possède une force, une puissance intérieure. Mais le problème récurrent, c’est de savoir s’en servir à bon escient.

On dit souvent de certains qu’ils ont de l’énergie à revendre. Mais est-ce pour autant qu’ils accomplissent de grandes choses ? Pas forcément : la plupart du temps, ils peuvent, certes, accomplir plusieurs activités à la fois, mais ils se dispersent plus qu’autre chose. Ils gaspillent leur énergie en s’éparpillant. D’autres montrent leur énergie en s’agitant, en vociférant à tout bout de champ, sans pour autant connaître le succès. En fait, ils s’épuisent en cris, en gesticulations et l’essentiel de leur but n’est pas atteint.
Finalement, avoir de l’énergie à revendre est une grande qualité mais à condition de savoir la canaliser afin de l’utiliser correctement.

Or, il n’existe qu’un seul moyen pour y parvenir : seul le calme, l’attitude zen peuvent vous y aider. Ainsi, avant de partir dans tous les sens, de vouloir montrer ce dont vous êtes capable, il faut apprendre à rester calme, zen.
De cette façon, vous arriverez à concentrer l’énergie au fond de vous-même pour la restituer de manière positive. Et c’est seulement à partir de là que vous parviendrez à accomplir de grandes choses.

Pour rester calme, vous devez avoir une volonté intérieure forte. Tout le monde peut y arriver mais il faut apprendre à se contrôler. C’est une question d’apprentissage. Vous devez devenir le maître de vos pensées, de votre corps, de vos émotions, de votre esprit. C’est un travail de tous les jours. La première chose c’est de savoir si vous êtes d’un calme naturel ou non. Il faut parfois savoir se remettre en cause pour admettre que l’on est un énervé, un « agité du bocal », un impulsif. A partir du moment où vous avez admis ce défaut, vous pourrez entamer votre travail intérieur. Le plus grand pas est fait. Après c’est une question de volonté. La méditation, la respiration profonde, la concentration peuvent vous aider à y parvenir.

Au fil du temps, vous apprendrez à rester calme dans toutes les circonstances. Face à l’agitation extérieure, vous resterez zen. Vous pourrez ainsi analyser objectivement la situation et y répondre convenablement. Vous ne disperserez pas votre énergie pour rien. Vous resterez maître de vous-même, de vos émotions et vous réglerez les problèmes sans heurts mais avec plus de force, plus de détermination.

Bien entendu, être calme, zen en tout temps ne signifie pas ne pas avoir de caractère, être effacé. Au contraire, vos arguments seront plus réfléchis. Ce n’est pas en criant que vous vous ferez mieux entendre ; vous apparaîtrez comme un agité, un impulsif. Le calme est quelqu’un de raisonné, de sensé.

La paix intérieure, la méditation ne peuvent qu’avoir un côté positif. Rien ne peut y résister. La pensée est plus en éveil, plus réceptive et surtout plus à même d’analyser, de gérer et de résoudre les difficultés.
Donc, le calme c’est votre force.


Co-auteurs : BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy

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vendredi 11 mai 2007

Le bonheur ici et maintenant

Combien de personnes connaissons-nous qui sont décédées dans la fleur de l’âge ou même juste après la retraite et à propos desquelles on se dit : « la pauvre, elle n’a pas vécu ; elle s’est privée toute sa vie pour faire des économies dans le but d’en profiter plus tard, etc. »

Bien entendu, dans l’instant, tout le monde se dit : « à partir de maintenant, je vais profiter de la vie, je ferai plus de choses. » Belle résolution, n’est-ce pas ?
Le problème, c’est que cela ne dure que l’espace d’un instant. Bien vite, les mauvaises habitudes reprennent le dessus. Vous continuez à faire des économies, bien plus qu’il n’en faut d’ailleurs ; vous vous restreignez ; vous vous refusez certains plaisirs comme aller au restaurant plus souvent, comme vous acheter des vêtements, etc. ; vous reportez à plus tard le fait de passer du temps avec votre famille en vous disant que vous vous rattraperez quand vous arrêterez votre activité, etc.

Mais pourquoi agissez-vous comme cela ? Tout simplement parce que vous vous inquiétez de l’avenir. Vous voulez, par exemple, amasser de l’argent, pour pouvoir en profiter plus tard. Mais quand le « plus tard » arrive, bien souvent vous vous dîtes : « je ne vais pas dépenser tout mon argent parce qu’on ne sait jamais ce qui va arriver ». En agissant de cette façon, vous êtes pris dans une spirale infernale qui finalement vous aura privé de bonheur, de joie, de petits plaisirs. Peut-être que vous n’en avez pas réellement conscience mais ce qui est certain c’est que vous aurez vécu une vie pleine de frustrations, de restrictions…

Que faire alors ? La solution est simple et évidente. Il faut vivre le moment présent sans trop se préoccuper de l’avenir. Le bonheur se vit ici et maintenant. Certes, penser à l’avenir est important. Mais, à partir du moment où vous avez mis en place de « bonnes fondations » (par exemple, gérer son budget sérieusement sans excès d’avarice ni de gaspillage, etc.), votre avenir ne pourra qu’être bon, donc pourquoi s’en préoccuper.

Libérez-vous de votre peur de l’avenir. Vivez en harmonie avec le présent. Sachez jouir des petits moments de bonheur qui s’offrent à vous chaque jour.
La peur de l’avenir ne peut qu’être source d’inquiétudes, de stress. Les personnes qui ont cet état d’esprit (elles sont nombreuses, c’est peut-être vous d’ailleurs) ne peuvent qu’être malheureuses.
A la fin de leur vie, elles ne pourront que s’en mordre les doigts, regretter de ne pas avoir assez profité de la vie.

Bien entendu, profiter de la vie ne signifie nullement faire des choses extravagantes, qui coûtent cher, cela ne signifie pas dépenser tout son argent. Cela signifie tout simplement ne pas s’interdire de faire des choses simples. Le bonheur ce n’est pas nécessairement faire de grands voyages, aller dans des hôtels 5 étoiles, c’est tout simplement une réunion familiale, une promenade avec son conjoint, un jeu avec ses enfants, etc.

A partir du moment où vous avez compris cela, c’est gagné !
Délectez-vous du moment présent et l’avenir ne sera que meilleur !

Co-auteurs : BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy

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jeudi 10 mai 2007

NON !!!!

Qui n’a jamais vécu la situation dans laquelle vos lèvres disent oui alors que votre cerveau pense non ?

Pourquoi, dans ce cas, dites-vous oui ?
- Par peur de décevoir vos interlocuteurs, votre entourage, votre patron, par exemple. Vous avez le droit de refuser quelque chose à vos enfants, de refuser de faire quelque chose pour votre patron.
- Par peur d’être considéré comme quelqu’un de méchant, d’asocial, d’égoïste
- Par timidité
- Par manque de confiance en vous.

Avoir peur de dire non a des conséquences fâcheuses sur votre vie :
- Il peut en résulter un sentiment de mal-être, d’infériorité, de culpabilité, du stress
- Lorsque vous faites toujours ce que les autres décident pour vous, cela revient à laisser les autres décider de votre vie
- Bref, vous vivez dans un inconfort dont vous êtes seul responsable.

Pourtant des solutions existent pour vous en sortir :
- Vous pouvez d’abord vous exercer à dire non, dans des situations simples puis plus compliquées. Au fur et à mesure, vous constaterez que ce n’est pas si difficile de dire non : c’est le premier « non » qui coûte.
- Vous pouvez aussi utiliser la technique de la visualisation : peser le pour et le contre. Demandez-vous quelles pourraient être les conséquences de votre refus ou de votre acceptation. Peut-être que le non serait moins préjudiciable en fin de compte.
- Bien sûr, vous devez combattre votre manque de confiance en vous, votre timidité. Apprenez à vous affirmer, à imposer votre opinion personnelle, vos avis. Vous devez toujours chercher à rester vous-même. Vous ne devez pas avoir peur d’avoir une opinion différente des autres (il n’est pas obligatoire de suivre l’opinion de la majorité)
- A chaque fois que vous dites non, expliquez-en le pourquoi : une explication saine et constructive ne blessera nullement la personne à qui vous dites non. Il est important de ne pas s’enfermer dans les non-dits (sans faire de jeu de mots)
- Vous ne devez pas oublier que ce n’est pas parce que vous dites non que vous n’aimez pas la personne à qui vous le dites. De même, la personne à qui vous dites non ne cessera pas de vous aimer pour çà (à condition d’expliquer votre refus)

Tout cela fonctionne à condition d’assumer votre non c'est-à-dire être capable de vous y tenir. Un oui ou un non sont des engagements, vous devez les respecter. Maintenant que vous savez dire non, vos oui auront plus de poids, plus de valeurs. Votre entourage saura dorénavant que votre oui est « sincère et réfléchi » et non plus machinal comme avant.
Allez-y, répétez dans votre tête régulièrement la phrase suivante : « J’ai le droit de dire NON ! »


Co-auteurs : BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy



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mercredi 9 mai 2007

La concentration, le fondement premier de la réussite

Certaines personnes arrivent à travailler dans le bruit, à écrire des livres avec de la musique, à écrire de fabuleux discours avec une foule autour d’eux, à battre des records dans un stade survolté ou hostile. Comment y parviennent-ils ?
Ils y arrivent grâce à leur pouvoir de concentration.
Ils arrivent à s’isoler, à rentrer en quelque sorte au plus profond d’eux-mêmes.
La concentration c’est le pouvoir de se focaliser sur une chose précise en faisant abstraction de tout ce qui nous entoure, c’est le contrôle mental de son corps et de son esprit.

La concentration est nécessaire à l’Homme pour avancer, pour réussir plus sûrement et plus rapidement, pour atteindre plus facilement ses objectifs. La concentration permet de ne pas se disperser dans tous les sens (« façon puzzle ») et de ne pas perdre de vue l’essentiel, le but à atteindre. Il est toujours difficile d’effectuer correctement plusieurs choses à la fois.
L’homme qui sait se concentrer, qui se focalise sur son travail ou sur sa tâche à accomplir, réussira. Il ne sera pas perturbé par des éléments extérieurs qui l’empêcheront d’avancer. Il fera le bonheur de son employeur, de ses associés car il accomplira son travail sans discontinuer et surtout avec plus de rapidité, plus de rendement.
Mais le pouvoir de la concentration n’est pas uniquement utile dans la vie professionnelle. Dans la vie privée, sociale, c’est également un allié précieux. Elle permet d’éviter de tomber dans la déprime en chassant de notre esprit les idées noires. Si ces dernières ont la mauvaise idée de s’immiscer dans notre cerveau, il suffit de se concentrer sur une pensée positive, gaie, pour la faire disparaître immanquablement. Si on est fatigué mentalement, au bout du rouleau, il faut effectuer une activité comme la lecture, la peinture… En se concentrant dessus, on constate que le cerveau se régénère, que les vilaines pensées disparaissent ou sont moins présentes. Certes, la pensée obsédante est encore là dans un coin du cerveau mais elle est moins prenante, moins paralysante et n’empêche plus d’avancer.

La concentration, c’est juste une question de volonté et de pratique. Certains y arrivent facilement (chez eux, c’est un réflexe inné), d’autres plus difficilement. Ces derniers doivent apprendre la technique et s’entraîner régulièrement.
Pour ce faire, il y a deux règles essentielles :
- s’isoler du monde extérieur, ne pas être perturbé par des éléments externes.
- contrôler parfaitement son corps et son esprit. L’esprit doit contrôler le corps et l’esprit doit, lui, être contrôler par la volonté. Ce sont ces trois éléments indissociables qui permettent d’atteindre la concentration parfaite.

Finalement, l’essentiel est d’exécuter chaque activité sans avoir l’esprit ailleurs. Cela permet d’être alors satisfait de soi-même car la tâche aura été parfaitement accomplie. Le travail, même le plus banal, même le plus ingrat, aura été réalisé sans se disperser, sans perdre de temps inutile à penser à différentes choses bien souvent négatives.
Toute la puissance de la pensée, de la volonté se dirigera toute entière vers un point précis ; il est donc normal que le succès soit au rendez-vous.

Concentrez-vous et vous réussirez !


Co-auteurs : BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy



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mardi 8 mai 2007

Dans la tempête, gardez le cap et faites des pauses…

Il faut toujours garder le cap quand vous désirez quelque chose. Vous ne devez jamais vous départir de vos objectifs. Surtout, il ne faut jamais agir avec précipitation, avec hâte. Il faut toujours réfléchir avant d’entreprendre. Bien sûr, si vous manquez de confiance en vous, si vous n’êtes pas sûr de vous, si vous n’avez pas mûrement réfléchi votre projet, vous n’arriverez à rien. Et, surtout, vous aurez la fâcheuse tendance à faire les choses trop vite par crainte d’être considéré comme quelqu’un qui n’agit pas. Agir ne veut pas dire faire n’importe quoi. Effectuer diverses choses « inutiles » en même temps dans l’unique but de montrer qu’on ne reste pas là à ne rien faire, ne sert à rien et est même source d’échecs à tous les coups.

La base de votre réussite, c’est votre confiance en vous. Si vous vous dîtes : « Je suis nul, je suis un raté, je n’arriverai à rien », hé bien, vous serez ce que vous pensez. Ces habitudes de pensées ne vous quitteront pas de sitôt et vous amènerons immanquablement à l’échec. La solution ? Il faut changer vos anciennes habitudes et en prendre de nouvelles. Comme vous avez pris l’habitude de vous dévaloriser constamment, il faut, a contrario, prendre l’habitude de vous dire que vous êtes fort, que vous êtes le meilleur, que vous pouvez accomplir de grandes choses. En modifiant l’image que vous avez de vous, vous modifierez l’image que les autres ont de vous. Et plus rien ne pourra vous résister.

Ainsi, tout dépend de votre attitude mentale. Les choses iront mal si vous allez mal. Certes, malgré votre optimisme, il arrive que cela n’avance pas comme vous voulez. Bien souvent, vous vous obstinez, vous vous enfermez dans vos problèmes, vous êtes stressé… Vous voulez absolument que votre projet avance mais, malgré les heures passées dessus, rien n’y fait : vous restez au point mort. Pire, vous vous découragez, vous vous désespérez.

Or, la solution est simple. Il suffit que vous fassiez une pause, que vous marchiez quelque temps, que vous partiez en week-end même. Et, vous verrez : aussi curieux que cela puisse paraître, votre problème sera résolu à votre retour. Bien entendu, tout ceci n’est possible qu’à la condition que vous soyez sûr de vous, que vous ayez foi en votre projet, que vos pensées soient toutes entières tournées vers cet objectif.

En fait, cette petite pause, ce petit break va simplement vous relaxer, vous destresser et vous irez mieux, tout bonnement. Votre attitude mentale aura changée… La paix sera en vous. Le calme et l’apaisement vous rendront plus fort, plus puissant et vous pourrez déplacer des montagnes. Vous verrez les choses de manière plus positive.

Co-auteurs : BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy

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dimanche 6 mai 2007

C’est pas de ma faute

Si vous êtes malheureux, dépressif ; si vous manquez de confiance en vous ; si vous n’arrivez pas à communiquer, etc…, à qui la faute ?
Je suis sûre que la première chose que vous répondez c’est : « C’est pas moi, c’est les autres ; ils ne m’aiment pas, ils ne veulent pas me parler, ils me rejettent continuellement… ».

Hé bien non, je vous le dis et je vous l’affirme : tout ce qui arrive dans votre vie, c’est de votre faute ! Bien sûr, c’est difficile à admettre mais c’est la réalité. Vous n’en êtes peut-être pas conscient mais c’est bien réel.
D’ailleurs, l’inconscient joue un rôle important dans votre mal-être général. En effet, vous savez parfaitement que vous allez mal, que quelque chose ne va pas dans votre vie, que vous êtes bloqués dans certaines situations, que vous passez à côté du bonheur, de la rencontre qui pourrait changer toute votre vie…
Mais vous ne savez pas d’où cela vient. Vous ressentez les choses mais vous n’en connaissez pas les causes.
Et justement, si vous désirez vivre mieux, vous devez trouver la cause de ce mal-être.

Comment procéder ?

Faites une introspection en vous-même et surtout apprenez à vous remettre en cause. Sans cette démarche primordiale, vous n’arriverez à rien !
Prenez de nouvelles habitudes. La première d’entre-elles, et la plus importante pour l’instant, c’est de, tous les jours, prendre 5 à 10 minutes pour vous remémorer votre journée et les événements « malheureux » qui vous sont arrivés et d’analyser tout cela. Cet examen consiste à savoir pourquoi telle chose vous est arrivée, pourquoi vous n’avez pas pu adresser la parole à quelqu’un, pourquoi vous avez le sentiment que personne ne vous aime, etc…
A force d’effectuer ce travail sur vous, vous finirez par comprendre les causes de votre mal-être. Peut-être est-ce votre enfance qui en est la cause première, vos parents ne vous ont peut-être pas suffisamment aimé. Peut-être avez-vous pris la mauvaise habitude de vous poser en victime dans le but de vous faire plaindre, de vous faire dorloter. Mais ceci n’a qu’un temps, à force un vrai mal-être s’installe et nuit à votre vie.
Si ce travail de recherches est bien mené, il ne vous restera plus qu’à reprendre votre vie en main, en adoptant de nouvelles habitudes afin de ne plus être une victime mais quelqu’un qui vit réellement, qui reprend le dessus, qui participe vraiment à sa vie, qui l’organise comme il le souhaite.
Mais attention, ceci ne se fera pas du jour au lendemain. Rappelez-vous : il faut faire un travail sur vous très régulièrement. Il faut toujours aller de l’avant et rester vigilant afin de ne pas retomber dans vos anciens travers.

Grâce à votre persévérance, vous vivrez pour vous-même. Vous serez donc plus heureux, plus joyeux. Vous ne dépendrez plus des autres. Vous vous affirmerez en tant que personne libre et indépendante. Le plaisir, le bonheur, le bien-être feront désormais partie de votre vie. Votre vie sera telle que vous la désirerez.

Co-auteurs : BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy



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samedi 5 mai 2007

Grandissez ou mourez !

Savez-vous que vous êtes en possession d’un pouvoir illimité, qui permet de grandir, de se développer sans limites ? Ce pouvoir immense, c’est votre subconscient. Vous devez l’utiliser à bon escient pour évoluer, pour accroître vos capacités.
Si vous n’avancez pas, ne progressez pas, vous reculez, vous régressez. Les seuls qui ne bougent plus sont au cimetière ! Votre cerveau, votre âme au lieu de se développer va s’atrophier et dépérir.

Chaque être est spécial, chacun peut être un génie ou un héros car nous sommes tous nés avec les mêmes capacités mais tout dépend de notre attitude mentale. Tout ce à quoi l’homme peut rêver, il peut le réaliser.
L’hérédité n’est pas un problème : vous avez autant de pouvoir qu’un autre. Vous pouvez changer votre vie comme vous le souhaitez : avoir une vie d’abondance aussi bien sur le plan financier que familial, avoir une bonne santé, recevoir de l’amour, du bonheur, bref être heureux.
Mais, pour cela, vous devez continuer toute votre vie à apprendre, à chercher à être une meilleure personne, à vous améliorer.
Tout d’abord, vous devez prendre conscience de votre propre pouvoir, puis choisir ce que vous voulez devenir. A partir de là, vous pourrez commencer à avancer vers votre but, sans vous décourager, quels que soient les obstacles. Dans le même temps, vous devez créer une image mentale de ce que vous voulez être et la visualiser tous les jours en la ressentant au plus profond de vous-même.

Vous ne devez pas oublier que nourrir votre corps ne suffit pas, vous devez aussi et surtout nourrir votre esprit. Pour vous aidez, vous pouvez, par exemple, lire des livres sur le développement personnel, sur la motivation, des histoires de succès, des biographies de « grands hommes », mais également regarder des films motivants.
Pendant votre cheminement, vous ne devez pas juger les autres, chacun accomplit son parcours comme il l’entend.

N’attendez pas d’être grand pour agir comme « un grand homme ». Soyez grand dès maintenant dans vos actes, dans votre comportement, pour toutes les choses quotidiennes, dans votre famille, à l’extérieur, à votre travail, c’est ainsi que vous grandirez.

Co-auteurs : BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy



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jeudi 3 mai 2007

Mettez de la stratégie dans vos affaires

En affaire, comme dans la vie, il faut agir avec rigueur et discipline si on veut réussir.
Dans les affaires, il faut tirer avantage de la moindre opportunité, de la moindre circonstance favorable.
Pour cela, il faut toujours être prêt à agir ou à réagir.

Mais vitesse ne veut pas dire précipitation. Avant de vous lancer à « grande échelle », vous devez faire des tests, des essais.
Une connaissance approfondie du terrain, du potentiel de votre activité, par une très sérieuse et très rigoureuse étude de marché s’impose.
Il faut aussi bien connaître vos atouts (mais aussi vos faiblesses) de même que ceux de vos concurrents. Et ne pas hésiter à utiliser les « bonnes idées » adverses pour vous renforcer, sans bien entendu faire du plagiat.

Tout ces éléments vous permettront d’avoir un plan détaillé de ce que vous allez faire (comment, pour qui, pourquoi ?).
Vous ne devez jamais perdre de vue votre stratégie. Et surtout vous ne devez pas hésiter à la revoir régulièrement et à l’adapter en fonction des circonstances et des réactions des clients (ou des concurrents). En effet, parfois il est nécessaire de changer ses plans en cours de route. Dans ce cas, il est indispensable de prendre en compte avant le moindre changement les avantages et les inconvénients possibles de ce dernier (en minimisant les avantages et en maximisant les inconvénients). Ainsi vous transformerez vos erreurs en chances.

Enfin, pour réussir mieux que les autres, il faut vous démarquer, il ne faut pas ressembler aux autres (d’où la nécessité de bien connaître la concurrence et le marché). Pour cela, vous devez « appâter » le client ou le déconcerter par quelque chose de différent.

Il est nécessaire parfois de ruser, d’user d’artifices envers vos concurrents afin de leur cacher votre stratégie (qui doit toujours rester secrète).
Alors que, bien entendu, le client lui ne doit jamais au grand jamais être lésé ou trompé. Si vous voulez conserver votre réputation et votre clientèle, vous devez toujours sous-promettre et sur-donner.

En toute occasion, quel que soit les choix que vous aurez faits, vous devrez rester calme et déterminé.

Co-auteurs : BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy



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mercredi 2 mai 2007

Pour réussir, soyez en bonne santé !

La santé est un bien précieux, il ne faut pas la gaspiller. Dès le plus jeune âge, il faut la préserver en menant une vie saine, équilibrée. La force physique, la vitalité, presque naturelles quand on est jeune, disparaissent immanquablement dans la force de l’âge si l’on est négligent, si l’on ne fait pas attention à sa santé.
Vous devez absolument éviter de gaspiller votre potentiel physique en buvant trop d’excitants, de l’alcool, en prenant des drogues. Vous devez manger sainement, éviter de prendre du poids, dormir suffisamment. Ces habitudes de vie ne pourront qu’être bénéfiques dans votre avenir : elles engendreront la réussite professionnelle et la longévité. « Qui veut voyager loin, ménage sa monture », nous dit le proverbe.
Ne négligez pas votre santé, elle est la base de votre réussite !

A bas l’anxiété inutile !
Etre inquiet pour des broutilles, ne pas savoir se déconnecter de ses soucis professionnels peut avoir des conséquences néfastes sur votre état physique : l’anxiété, le stress entraînent l’irritabilité, l’insomnie qui entraînent, à leur tour, fatigue, manque de lucidité, déconcentration, baisse de tonus et d’énergie. Bref, l’inefficacité au travail devient inévitable. Ce ne sont pas les excitants, les drogues qui amélioreront les choses, bien au contraire. L’anxiété incessante entraînera une déchéance physique rapide (rides, cheveux blancs) et une déchéance morale (morosité qui bloque la créativité, la réflexion).
Comment lutter ? L’anxiété n’atteint pas les personnes en excellente santé, les personnes heureuses, optimistes, pleines d’espérance.
Alors, pensez positif, soyez moins anxieux, et cela décuplera votre force, votre vitalité et engendrera votre réussite.

Considérez votre corps, votre santé comme un objet de réussite, de victoire
Luttez contre la tendance qu’ont beaucoup de considérer le moindre bobo comme la fin, comme le début de la déchéance. Surmontez votre inquiétude à ce sujet. Ne voyez pas tout en noir. Votre corps, vos organes sont vos alliés, non vos ennemis. Vous devez les penser comme étant à vos côtés comme des gages de votre réussite. Soignez une bonne fois pour toute les affections qui vous empoissonnent la vie de tous les jours, style rage de dent, ongles incarnés…, et vous n’y penserez plus.
Ne succombez pas continuellement à la paresse. Soyez actif. L’activité c’est la vie, l’oisiveté, la mort. Ne vous dîtes « je suis fatigué, je vais me reposer sur mon fauteuil quelque temps », battez-vous, surmontez votre laisser-aller. Prenez l’habitude de ne pas répondre à cette tendance très dangereuse qui affectera inévitablement votre mental. Tout le monde à des coups de pompe mais évitez d’y succomber, relevez-vous, occupez-vous, rencontrez des gens, marchez, prenez l’air frais et le « mal » disparaîtra. Ou s’il s’agit d’une réelle fatigue, débarrassez-vous en en faisant une micro-sieste (20 minutes suffisent) ou en bénéficiant d’une séance de Massage assis (qui détend et réénergise en 15 minutes).
Soyez le maître de votre esprit, de votre corps !

Visualisez-vous en bonne santé et vous le serez !
Voyez les malades imaginaires, les hypocondriaques, comme ils sont malheureux, comme ils ne vivent plus. Ne vous imaginez pas avoir des maladies. Remplacez vos pensées morbides par des pensées positives, joyeuses et vous verrez que vous vous sentirez mieux. Utilisez, par exemple, la méthode Coué : « chaque jour et à tout point de vue, je vais de mieux en mieux ».

Mens sana in corpore sano ! (Un esprit sain dans un corps sain)
Certes, il faut nourrir son cerveau par les études mais sans énergie, sans vitalité, le cerveau se vide, s’épuise et on est voué à l’échec. Le stockage des informations dans le cerveau ne suffit pas, il faut du carburant pour qu’il soit efficace. Ce carburant c’est la nourriture saine, l’activité physique, les loisirs.

Un corps et un esprit en pleine forme vous permettront une plus grande concentration et une plus grande force de travail. Ainsi, vous pourrez réagir plus rapidement et profiter plus facilement des opportunités. Rien ne marche sans une bonne santé. Préservez-la, chouchoutez-la. Vous ne serez que plus optimiste, plus joyeux, plus performant, plus maître de vous-même, plus enthousiaste.



Co-auteurs : BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy



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mardi 1 mai 2007

Apprenez à corriger vos défauts pour vivre mieux

Vous vous sentez mal-aimé, vous connaissez l’échec, le malheur, vous être timide, mal dans votre peau, vous avez peur de mal faire, de l’échec…
Généralement, la cause de tout ceci est la faiblesse du Caractère : vous êtes ce que vous pensez ! Donc, pensez autrement, pensez positif et vous améliorerez votre vie, votre situation professionnelle et familiale, vous connaîtrez le bonheur.

Comment faire ?
Apprenez à fortifier votre caractère : le remède apparaît à la fois simple et compliqué.
Voici comment y arriver : la première chose à savoir c’est que le bonheur ou le malheur, le succès ou l’échec sont créés par vos pensées intérieures et secrètes (ou votre Moi intérieur et secret). Elles déterminent vos attitudes, vos actes.
Pour connaître votre Moi intérieur, pour améliorer vos défauts, vos mauvaises pensées, il faut savoir vous auto-analyser, c’est-à-dire méditer vos actes et pensées, connaître vos défauts cachés (cela doit se pratiquer régulièrement, dans un lieu calme, sans être dérangé). Une fois cette connaissance acquise, vous devez désirer sincèrement vous améliorer.
« Celui qui se connaît est seul maître de soi », Ronsard.

La marche vers la « guérison » passe donc par le Force de Volonté, la maîtrise de soi : vouloir réussir est le meilleur gage de la réussite !
Pour acquérir une Force de Volonté supérieure, vous devez utiliser pleinement votre subconscient : avant de vous endormir, concentrez-vous sur ce que vous voulez changer, imaginez-vous possédant cette nouvelle qualité et ressentez-en les bienfaits futurs.

Dernier conseil : procédez par étapes, commencez par de petites choses, par vouloir améliorer de petits défauts (un seul à la fois !) pour obtenir de petites victoires, pour retrouver confiance en vous. En avançant pas à pas (technique du Kaizen), votre esprit acceptera plus facilement le changement. Vous serez préparé à franchir de plus grands obstacles, donc à obtenir de plus grandes victoires, du succès en abondance !

« Celui qui est le maître de lui-même est plus grand que celui qui est le maître du monde », Bouddha
Les défauts enracinés en vous, qui vous empêchent d’avancer, de connaître le bonheur disparaîtront.
Soyez tenace et vous réussirez !



Co-auteurs : BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy




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