samedi 15 septembre 2007

Pour une rentrée zen

La rentrée scolaire et l’année scolaire sont de grands moments pour les enfants : ils y passent la majorité de leur temps. Leurs parents ne sont pas en reste. Certains donnent l’impression que ce sont EUX qui font leur rentée ou qui suivent la scolarité.

Certains parents attachent beaucoup trop d’importance à la rentrée scolaire. Ils en font toute une montagne, ils angoissent, ils stressent. Et, malheureusement, leur réaction rejaillit sur les enfants. Peut-être que ces derniers n’appréhendaient pas du tout la rentrée, trop contents de retrouver leurs camarades. Mais, à force de s’inquiéter, les parents finissent par leur transmettre leur peur.
Ces derniers sont angoissés à l’idée de voir leurs enfants s’éloigner d’eux. Ils ont l’impression de ne plus avoir aucune prise sur eux quand ils sont à l’école. Ils ressentent cela comme une séparation, comme une rupture de l’interdépendance parents-enfants qu’ils n’ont pas choisie.

Certes, pour certains enfants, notamment ceux qui rentrent à la Maternelle, au CP, en 6ème, leur rentrée est particulière, un nouveau palier est franchi. Il est normal qu’ils angoissent un peu mais n’en rajoutez pas. Evitez de leur mettre la pression, de leur rappeler sans arrêt que c’est bientôt la rentrée. Laissez-les profiter de la fin de leurs vacances. Rassurez-les en leur disant qu’une rentrée n’est pas si grave que cela, qu’ils se feront de nombreux camarades, qu’ils apprendront beaucoup de choses, etc.
Ne faites pas de la rentrée un jour si extraordinaire que cela. Dites-vous que c’est un jour comme un autre. En effet, dans les 10 mois à suivre (en dehors des vacances scolaires bien sûr), votre enfant se rendra tous les matins à l’école, il mangera peut-être à la cantine, il rentrera faire ses devoirs.

Les parents ressentent également une certaine appréhension à déléguer, à partager leur autorité avec les professeurs. Ils les considèrent comme des rivaux. Le pire c’est qu’il arrive souvent que certains parents remettent en cause purement et simplement les décisions, l’autorité des professeurs. Cela peut s’avérer très dangereux. Immanquablement, l’enfant, prenant au mot les dires de ses parents, rejettera aussi l’autorité de ce professeur. Chaque année, l’actualité relate des cas où des parents ont molesté des professeurs.
Les parents ont le devoir, l’obligation de respecter les professeurs de leurs enfants (dans la mesure où ces derniers font correctement leur travail, évidemment). Si vous jugez qu’ils agissent mal ou prennent des décisions surprenantes, rien ne vous empêche de le rencontrer et d’en discuter. L’essentiel est de laisser votre enfant en dehors de cela.

En outre, certains parents ont peur de ce qui se passe dans la cour de récréation et aux portes de l’établissement. Certes, leur crainte est justifiée dans certains cas et les faits parlent d’eux-mêmes : rackets, jeu du foulard, bouc émissaire, intimidations, moqueries… sont le lot quotidien de certains enfants qui vivent un véritable cauchemar en allant à l’école. Dans ces cas très précis, il faut essayer de faire parler votre enfant. Si la discussion, le dialogue sont monnaie courante au sein de votre famille, il s’exprimera de lui-même. Sinon, si vous voyez que votre enfant va mal, qu’il ressent un certain mal-être, au détour d’une discussion, parlez-lui du racket, du jeu du foulard, etc. et peut-être qu’il se dévoilera. C’est çà aussi le rôle de parent : ressentir les angoisses de son enfant, en discuter, lui offrir surtout un univers familial où tout se dit, où rien n’est tabou.

Votre enfant doit surtout évoluer dans un climat familial serein, calme. Evitez que votre organisation domestique tourne toute entière autour de l’école.
Certains parents ont tendance à « fliquer », à imposer un emploi du temps très strict à leur enfant parce qu’ils ont peur qu’il ne dispose pas de suffisamment de temps pour faire ses devoirs, pour pratiquer des activités extrascolaires. Or, ceci, c’est agir au détriment de l’épanouissement, du bien-être de l’enfant. A trop vouloir lui imposer des horaires trop précis, votre enfant finit par se sentir prisonnier, n’ayant plus la possibilité de souffler un peu. Il reproduit le schéma métro-boulot-dodo de ses parents, alors qu’il n’est qu’un enfant, un enfant qui a besoin de vivre sa vie d’enfant, de se reposer, de rêver.

Alors, bonne rentrée à tous et n’oubliez pas, soyez zen !

Co-auteurs : BRUNET Isabelle (spécialiste en développement personnel) et GAWELIK Katy (Docteur en droit, spécialiste en bien-être et en épanouissement personnel)

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mardi 14 août 2007

Cherche mentor désespérément…

Quand vous désirez créer une entreprise, pratiquer une activité quelconque, changer de vie, il paraît plus facile de le faire en se faisant accompagner d’un mentor.
Le mentor est un maître à penser, la personne qui sait, qui est déjà passée par où vous souhaitez aller. Il est là pour vous donner des conseils, pour vous éviter de commettre des erreurs, pour vous permettre d’avancer plus vite.
Donc, avoir un mentor semble être un sacré avantage pour réussir, pour progresser plus rapidement et mieux dans la vie. C’est incontestable.

Toutefois, pour que cela ne tourne pas au fiasco, vous devez absolument prendre quelques précautions.
La première chose évidente est que vous devez choisir le bon mentor. En effet, certains individus peuvent s’improviser mentor alors qu’ils n’en ont nullement les capacités, ni les compétences. Bien entendu, il paraît extrêmement difficile de savoir si vous avez affaire à un bon ou à un mauvais mentor. Peut-être devez-vous le tester, lui tendre des sortes de pièges afin de vous rendre compte si ses aptitudes ne se limitent pas à du « blablatage », s’il n’est pas finalement qu’un beau parleur.

Maintenant, en supposant que vous ayez fait le bon choix, il y a une erreur à ne pas commettre. Vous devez absolument éviter d’être fasciné, obsédé, obnubilé par votre mentor. Cela risque d’être dangereux.
Votre mentor est là pour vous aider, pour vous conseiller mais non pour annihiler votre manière de penser, votre jugement, votre personnalité. Vous devez absolument conserver votre liberté d’action, votre libre-arbitre.
Si vous vous sentez pris au piège par votre mentor, si vous avez l’impression de ne plus rien faire par vous-même, vous devez fuir, l’abandonner. En effet, peut-être vous trouvez-vous face à un gourou d’une secte !

Votre mentor est là pour vous guider et non pour vous broyer, pour vous briser mentalement.
Il doit juste être une rampe de lancement vers votre réussite. Ses conseils sont précieux, indispensables même, mais son rôle doit s’arrêter là. C’est vous, personnellement, qui construisez votre avenir. Vous êtes le seul maître de votre futur.

L’idéal d’ailleurs serait même de dépasser le maître. Dans l’absolu, un bon mentor – sincère et compétent – ne doit-il pas penser de cette façon ? Il doit être votre allié, un de vos collaborateurs et non vous diriger pour aller dans la direction qu’il souhaite lui.
Vous pouvez, à juste titre, admirer votre mentor, être fasciné par sa réussite, par son succès. Mais vous devez garder la tête froide et absorber comme une éponge ce qu’il vous enseigne dans le seul but de tout restituer « à votre propre sauce ».
C’est cela avoir un bon mentor ! Il doit pouvoir déceler en vous votre potentiel et vous aider à le développer.

Si vous avez compris tout cela, vous irez loin. Un mentor est primordial pour réussir de grandes choses mais, c’est vous seul qui arriverez au bout de votre rêve ! Et, peut-être deviendriez-vous un jour vous-même mentor ?



Co-auteurs : BRUNET Isabelle (spécialiste en développement personnel) et GAWELIK Katy (Docteur en droit, spécialiste en bien-être et en épanouissement personnel)

N'hésitez pas à visiter le site Katisa Editions http://www.katisa-editions.com et à télécharger les ouvrages et les audios gratuits.

jeudi 26 juillet 2007

C’était mieux avant…

Qui n’a pas dit un jour : « C’était mieux avant ! » ?
D’ailleurs, les innombrables spectacles « Années 60 », « Rock’n’roll », « Années 70 », « Années 80 », etc. démontrent bien que la nostalgie fait recette. Les organisateurs de ce genre d’événements ne surfent pas seulement sur la vague, ce n’est pas une simple question de marketing. Ils répondent en fait à une demande, à un besoin des spectateurs. Les artistes soi-disant « has been » sont d’ailleurs étonnés de leur nouveau succès.
Comme disait l’un d’eux lors d’une interview récente : « Nous sommes passés du statut de vedette à celui-ci de « has been » et maintenant nous sommes cultes ! »
Les chansons sont de bons déclencheurs de souvenirs. Telle chanson de Johnny Hallyday rappelle les surprises-parties des années 60. Tel slow permet de se remémorer son premier baiser. Telle chanson de Piaf nous fait nous souvenir de notre premier grand amour. Et vous ? Il y a certainement des chansons cultes qui correspondent à des moments clés de votre vie.
Ce besoin de revivre le passé a parfaitement été identifié par la radio Nostalgie. Mais ce besoin, à quoi correspond-il ?

Dans un monde où l’avenir semble incertain et où le présent n’est pas toujours rose, les gens ressentent la nécessité de se raccrocher à leur passé parce que ce sont des moments vécus. Il n’y a donc pas d’incertitude sur ce qui va arriver. C’est comme regarder un film que l’on a déjà vu : il n’y a pas de suspense ou d’angoisse, on connaît déjà la fin.
Ils repensent aux bons moments qu’ils ont vécus à des époques, certes pas toujours joyeuses, mais où ils étaient plus insouciants du fait de leur jeune âge.
De plus, le cerveau ayant tendance à occulter les moments difficiles, il paraît tout à fait naturel de vouloir revivre des instants heureux.

Mais, à l’heure actuelle, tout n’est-il pas prétexte à nostalgie, musique, habillement, mobilier, marketing, etc. ? Tout cela n’est-il pas fait pour nous faire oublier le quotidien et les réalités de la vie présente ? N’est-ce pas une façon d’infantiliser les gens ?
Il ne faut pas que cette volonté de revivre le passé devienne une obsession. C’est agréable de temps en temps de se rappeler de bons souvenirs de ce genre. Mais c’est dangereux pour son évolution personnelle d’en abuser. D’autant que le passé que l’on nous présente à tout bout de champs est généralement enjolivé, lisse, aseptisé. Il correspond plus à un rêve qu’à la réalité.

En vivant ainsi continuellement dans le passé, nous nous empêchons de nous projeter vers l’avenir. Or, nous savons très bien que toute grande réalisation ne peut aboutir sans visualiser le résultat que l’on veut obtenir. Il ne faut pas renier le passé mais il ne faut pas non plus chercher à le reproduire tel quel. Il faut apprendre à l’utiliser intelligemment. Il ne faut pas regretter le passé mais en retirer des expériences, positives ou négatives, afin de ne pas commettre les mêmes erreurs.
Ce n’est pas en regardant continuellement derrière soi que l’on peut avancer. Il faut aller de l’avant en se tournant vers l’avenir si on veut réussir.

Co-auteurs : BRUNET Isabelle (spécialiste en développement personnel) et GAWELIK Katy (Docteur en droit, spécialiste en bien-être et en épanouissement personnel)

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lundi 2 juillet 2007

Chacun sa place

De nos jours, les enfants considèrent bien souvent leurs parents comme leurs copains. Ces derniers acceptent d’ailleurs sans problème cette situation. Cette une façon pour eux d’élever leurs enfants. Ils pensent que faire preuve d’autorité n’est pas bon pour leur éducation.

Leurs enfants considèrent que tout leur est dû, que tout leur est permis. D’ailleurs, à la moindre remontrance, ils n’hésitent pas à répondre, à critiquer leurs parents comme ils le feraient avec des copains.

Bien entendu, une éducation trop stricte, trop autoritaire n’est pas idéale. Toutefois, il est essentiel que les parents jouent véritablement leur rôle de parents. Ils doivent retrouver leur place dans la famille. Ils sont là pour guider leurs enfants sur le chemin de la vie.

Plus grave encore, parfois même des enfants sont amenés à jouer le rôle des parents. Face à une maman dépressive qui se laisse aller, certains enfants se trouvent dans l’obligation de faire à manger, de faire le ménage, de s’occuper de leurs frère et sœurs, de se consacrer à leur maman.
Certaines d’entre elles peuvent se comporter également comme des copines avec leurs enfants. Elles leur racontent leurs petits malheurs, leur vie sentimentale voire sexuelle. Ce type de comportement ne peut qu’être néfaste pour l’équilibre psychologique de l’enfant. Il est adulte avant son âge. C’est le confronter à des problèmes d’adulte. C’est le faire grandir trop vite, il n’a pas le temps de se construire.

Dans des cas extrêmes, les papas peuvent également dépasser les bornes en considérant leurs enfants comme des partenaires sexuels en pratiquant l’inceste avec eux. Que dire de ce comportement ignoble, intolérable, condamnable au plus haut degré ? C’est criminel, c’est anéantir totalement la vie de l’enfant !

Certains grands-parents ne sont pas en reste. Très actifs, ils ne pensent qu’à sortir, qu’à voyager et refusent de garder leurs petits-enfants. Or, un enfant a besoin aussi de ses grands-parents. S’ils sont dynamiques, tant mieux : ils pourront faire plein d’activités ensemble. Bien souvent, ils ont plus de temps à consacrer à leurs petits-enfants pour cuisiner, jardiner, discuter, se promener, jouer, etc. Leur présence est indispensable. Ils ont une autre vision de la vie que les parents. Ils sont un point d’ancrage pour les enfants, un repère. Ils représentent les « racines » de la famille.

Savoir garder sa place est donc indispensable pour l’épanouissement de toute la famille.
Un enfant que l’on veut faire grandir trop vite, qui a trop de responsabilités aura une vie d’adulte difficile. Des parents ou grands-parents qui ne veulent pas remplir leur rôle éducatif sont fautifs. Un enfant a besoin de repères, de règles pour se construire, mais aussi d’écoute, de compréhension, d’attention. Pour qu’il acquiert une bonne estime de lui-même, il faut lui montrer qu’il est important, que l’on a de la considération pour lui, qu’on le traite véritablement comme l’enfant qu’il est.

Un enfant doit rester un enfant, un parent un parent. C’est ainsi que la famille grandira harmonieusement, sera une vraie famille.


Co-auteurs : BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy

samedi 16 juin 2007

Le respect, c’est quoi ?

« Les jeunes ne respectent plus rien ». « Gare à toi si tu me manques de respect ! ». « Je te respecterais si tu me respectes ».
Ce sont des expressions que l’on entend régulièrement. Mais, qu’est-ce que le respect ?

C’est une façon de dire que l’on veut être reconnu en tant que personne, que l’on veut être apprécié, que l’on veut être aimé pour ce que l’on est.
D’ailleurs, ce qui peut paraître étrange, c’est que le mot « respect » se retrouve très souvent dans la bouche des jeunes alors que ces derniers sont très souvent accusés d’être irrespectueux.
C’est un vrai paradoxe.

En fait, pour certains jeunes, le mot « respect » est davantage employé comme un défi, un peu comme « œil pour œil, dent pour dent ». Cela ne semble pas spontané chez eux. C’est plutôt du donnant-donnant : « je te respectes si tu me respectes ». N’est-ce pas galvauder la notion même de respect ?
Le respect, pour les personnes âgées, pour les parents, pour les professeurs, etc. est, en quelque sorte, indiscutable. C’est quelque chose que l’on doit donner sans arrière-pensée, sans attendre de contrepartie. C’est comme si on disait : « je te donne ceci à condition que tu me donnes cela ». Cela, ce n’est pas faire preuve de générosité. Or, le don doit être gratuit. Il ne faut rien attendre en retour. C’est la même chose pour le respect. Il doit se donner naturellement, gratuitement. Cela doit faire partie de soi.

C’est vrai, qu’avant, le respect allait de soi. Enfin, disons plutôt que le manque de respect était moins flagrant.
Cela ne veut pas dire que le respect a totalement disparu de nos jours. La différence c’est qu’aujourd’hui, il faut apprendre le respect. Il n’a plus l’air d’aller de soi. Normalement, ce sont les parents qui doivent nous inculquer ces valeurs primordiales. D’ailleurs, comme on reproduit instinctivement le comportement de nos parents, le problème ne vient-il pas de là justement ? De plus en plus de personnes ne respectent plus le code de la route, sont individualistes, ne respectent plus leurs voisins, les professeurs, leurs parents… Les gens ne se respectent plus entre eux. Et, de ce fait, les enfants ne voient plus le respect dans rien. Il suffit que l’enfant soit livré à lui-même, sans point d’appui, de modèle à suivre, pour que le respect ne soit pas naturel chez lui.

Bien entendu, les jeunes ne sont pas tous à mettre dans le même sac. Il y a bien des personnes âgées qui sont également irrespectueuses et qui se croient tout permis en faisant prévaloir leur grand âge. Elles font preuve de racisme anti-jeunes.
Le respect est donc indispensable à la bonne vie en société, à l’harmonie familiale, sociale. Cela va, du reste, de paire avec l’amour. Avec plus d’amour, il y aura forcément plus de respect. Si on aime les autres, on fait attention à eux, on a de la considération pour eux et le respect vient tout seul

Si le respect ne vient pas naturellement, s’il n’est pas ancré en soi, s’il ne va pas de soi, il faut l’apprendre et c’est l’affaire de tous. C’est à nous de montrer l’exemple, le chemin.


Co-auteurs : BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy

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mercredi 6 juin 2007

La méthode pour être plus jeune de jour en jour

Vieillir vite n’est plus une fatalité. Le corps et l’esprit sont comme des machines de précision : pour qu’ils durent longtemps, ils ont besoin d’être entretenus de manière scrupuleuse avec minutie, méthode et régularité.

Avant, ayant atteint un certain âge, les personnes âgées se pensaient « vieilles », restaient chez elles et attendaient la fin. Aujourd’hui, la plupart des seniors (à condition qu’ils ne soient pas amoindris physiquement et intellectuellement) sont plein de vie, plus dynamiques que bien des jeunes.

Auparavant, vieillir était considéré comme inéluctable. On pensait que l’on possédait un capital de vie qui s’épuisait, s’étiolait peu à peu. Maintenant, les recherches tendent à démontrer que notre organisme est plutôt victime d’un ensemble d’empoisonnements, d’attaques qui provoquent une dégradation et un vieillissement prématurés.
Ayant découvert des causes plus rationnelles au vieillissement, il est possible de trouver des moyens pour le ralentir.

En voici quelques-uns :

Surveillez votre alimentation : mangez sainement, lentement et en quantité raisonnable
Bien dormir : recherchez le calme et la détente avant votre coucher vous permet de mieux dormir
Exercez une activité physique : bannissez les sports violents. La marche, le golf, l’aquagym, le tai chi, par exemple, sont amplement suffisants pour dérouiller vos articulations et vos muscles
Retrouvez les plaisirs de l’amour : il n’y a pas d’âge pour pratiquer, ce ne sont pas les performances qui comptent mais le bien-être qui en découle
Soyez zen, cherchez à vous détendre : réservez-vous un moment de détente chaque jour rien que pour vous en laissant vos soucis de côté
Respirez mieux : apprenez la respiration profonde et pratiquez-la chaque jour, cela stimulera tous vos organes
Prenez soin de votre apparence : chaque jour, faîtes-vous beau ou belle, d’abord pour vous puis pour votre entourage, cela rejaillira sur votre moral
Entretenez votre cerveau : lisez, faîtes des mots croisés (ou autres), apprenez chaque jour que ce soit de la poésie ou des recettes, peu importe du moment que cela vous plaît, cela stimulera vos neurones

Tous les atouts sont entre vos mains. Rester jeune est surtout une question d’état d’esprit. Que l’on ait 20, 50 ou 80 ans, il n’est jamais trop tard pour commencer. A vous de le décider !



Co-auteurs : BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy


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dimanche 3 juin 2007

La quête du Grand Amour

Ce n’est pas toujours facile de se faire aimer et d’aimer.
Connaître le vrai, le grand Amour n’est pas donné à tout le monde. Parfois même, il se présente devant nous et on ne le reconnaît pas. Quelquefois, on croit le rencontrer, on s’investit totalement dans la relation et tout finit d’un coup… parce que ce n’était finalement pas le bon. Parfois, on idéalise tellement le grand Amour, qu’on finit par passer à côté de belles histoires.

Le grand Amour existe-t-il vraiment ? N’est-ce pas un fantasme imaginé par les auteurs de contes de fée ?

Quand on regarde autour de nous, il ne paraît pas évident que le grand Amour soit l’apanage du plus grand nombre. Les séparations, les divorces, les drames familiaux en sont la preuve.

Mais faut-il, pour autant, renoncer au grand Amour ?

Je répondrais à la fois non et oui.

Non, parce qu’il est difficile d’y renoncer surtout quand on connu un échec amoureux. Cela permet de garder l’espoir. Or, vivre sans l’espérance que les choses iront mieux, s’amélioreront sans aucun doute, est difficile.

Oui, parce que vouloir à tout prix connaître le grand Amour, c’est renoncer à vivre de petites histoires d’amour qui peuvent s’avérer, au final, très agréables. C’est peut-être également mettre la barre trop haut et poser des exigences trop fortes, c’est vouloir faire de sa relation quelque chose de parfait. Or, tout le monde sait que nul n’est parfait et que ce n’est pas parce que son compagnon ou sa compagne a de petits défauts qu’il faut tout arrêter. Les choses peuvent changer. En y mettant du sien et en essayant de ne plus viser sans cesse la perfection, l’harmonie peut s’installer au sein du couple. Dans ce cas, l’Amour pourra évoluer et se transformer, au fil du temps, en grand Amour.

Bien entendu, il existe des personnes qui connaissent et vivent le vrai, le grand Amour. Parfois, elles attendent longtemps, elles n’y pensaient même plus. Elles y avaient même renoncé. Dans ce cas précis, cela ne peut qu’être grand et fort. Cela leur tombe dessus sans qu’elles l’aient vraiment cherché. C’est d’ailleurs peut-être le critère essentiel pour que le grand Amour existe vraiment.
En effet, à trop le désirer, on finit par passer à côté. Comme il ne vient pas suffisamment tôt, on finit par se dévaloriser, par perdre confiance en soi, par se dire que l’on est nul, que l’on ne connaîtra jamais l’amour… et c’est ce qui finira par arriver. En effet, on est ce que l’on pense. Toutes ces pensées négatives rejailliront sur vous, sur votre caractère, sur votre comportement et vous ferez fuir, inconsciemment, les gens.

Alors, pour vivre le grand Amour, n’y pensez pas, ne le cherchez pas à tout prix, adoptez une attitude positive, ayez confiance en vous et vous attirerez sur vous les regards. Vous ne pourrez qu’être apprécié. Et, finalement, n’est-ce pas le seul moyen pour rencontrer la personne qui partagera votre vie et avec qui vous construirez votre avenir ?



Co-auteurs : BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy


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mercredi 23 mai 2007

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Bonjour,

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Nous espérons que ce nouveau site vous plaira.
N’hésitez pas à nous confier vos impressions.

Bien amicalement,

Brunet Isabelle et Gawelik Katy
Créatrices de Katisa Editions
Vivez la Vie dont vous rêvez !
http://www.katisa-editions.com

mercredi 16 mai 2007

Soyez généreux, cela ne coûte rien !

- Donnez votre sourire à chaque personne que vous rencontrez. Un sourire ne coûte rien mais il produit beaucoup. Même s’il ne dure qu’une seconde, il peut remonter le moral, donner du bonheur.C’est l’acte le plus généreux qui soit car le sourire ne peut s’acheter, se vendre, se voler. Il n’a pas de valeur en lui-même pourtant il peut valoir énormément pour celui qui le reçoit.

- Donnez du rire, de la bonne humeur, de la joie de vivre. « La gaieté est la moitié de la santé » (proverbe tchèque). Une étude a même démontré que le rire pouvait jouer un rôle dans la prévention de maladies cardio-vasculaires. Soignez votre entourage, donnez-lui chaque jour quelques gouttes de votre bonne humeur. N’ayez crainte, il n’y a pas d’effets secondaires, c’est à consommer sans modération !

- Donnez du temps autour de vous. Une visite, même si elle ne dure que 5 minutes, peut faire beaucoup pour la personne visitée car vous serez peut-être sa seule rencontre de la journée, son seul rayon de soleil.

Mettez de l’abondance dans votre vie et dans la vie de chacun. Devenez des donneurs. N’oubliez surtout pas que l’on récolte toujours ce que l’on sème !

mardi 15 mai 2007

Gagnez à être zen !

« Calme et force sont, a priori, antinomiques. » Si vous pensez cela, c’est que vous n’avez pas compris un élément fondamental qui doit gouverner votre vie : force ne signifie pas puissance, brutalités, domination…
La force est une énergie que vous accumulez en vous et qui vous permet d’accomplir de grandes choses. C’est d’ailleurs la base de la réussite.
Or, cette énergie, c’est vous qui la produisez. Elle est en vous : chaque être humain possède une force, une puissance intérieure. Mais le problème récurrent, c’est de savoir s’en servir à bon escient.

On dit souvent de certains qu’ils ont de l’énergie à revendre. Mais est-ce pour autant qu’ils accomplissent de grandes choses ? Pas forcément : la plupart du temps, ils peuvent, certes, accomplir plusieurs activités à la fois, mais ils se dispersent plus qu’autre chose. Ils gaspillent leur énergie en s’éparpillant. D’autres montrent leur énergie en s’agitant, en vociférant à tout bout de champ, sans pour autant connaître le succès. En fait, ils s’épuisent en cris, en gesticulations et l’essentiel de leur but n’est pas atteint.
Finalement, avoir de l’énergie à revendre est une grande qualité mais à condition de savoir la canaliser afin de l’utiliser correctement.

Or, il n’existe qu’un seul moyen pour y parvenir : seul le calme, l’attitude zen peuvent vous y aider. Ainsi, avant de partir dans tous les sens, de vouloir montrer ce dont vous êtes capable, il faut apprendre à rester calme, zen.
De cette façon, vous arriverez à concentrer l’énergie au fond de vous-même pour la restituer de manière positive. Et c’est seulement à partir de là que vous parviendrez à accomplir de grandes choses.

Pour rester calme, vous devez avoir une volonté intérieure forte. Tout le monde peut y arriver mais il faut apprendre à se contrôler. C’est une question d’apprentissage. Vous devez devenir le maître de vos pensées, de votre corps, de vos émotions, de votre esprit. C’est un travail de tous les jours. La première chose c’est de savoir si vous êtes d’un calme naturel ou non. Il faut parfois savoir se remettre en cause pour admettre que l’on est un énervé, un « agité du bocal », un impulsif. A partir du moment où vous avez admis ce défaut, vous pourrez entamer votre travail intérieur. Le plus grand pas est fait. Après c’est une question de volonté. La méditation, la respiration profonde, la concentration peuvent vous aider à y parvenir.

Au fil du temps, vous apprendrez à rester calme dans toutes les circonstances. Face à l’agitation extérieure, vous resterez zen. Vous pourrez ainsi analyser objectivement la situation et y répondre convenablement. Vous ne disperserez pas votre énergie pour rien. Vous resterez maître de vous-même, de vos émotions et vous réglerez les problèmes sans heurts mais avec plus de force, plus de détermination.

Bien entendu, être calme, zen en tout temps ne signifie pas ne pas avoir de caractère, être effacé. Au contraire, vos arguments seront plus réfléchis. Ce n’est pas en criant que vous vous ferez mieux entendre ; vous apparaîtrez comme un agité, un impulsif. Le calme est quelqu’un de raisonné, de sensé.

La paix intérieure, la méditation ne peuvent qu’avoir un côté positif. Rien ne peut y résister. La pensée est plus en éveil, plus réceptive et surtout plus à même d’analyser, de gérer et de résoudre les difficultés.
Donc, le calme c’est votre force.


Co-auteurs : BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy

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vendredi 11 mai 2007

Le bonheur ici et maintenant

Combien de personnes connaissons-nous qui sont décédées dans la fleur de l’âge ou même juste après la retraite et à propos desquelles on se dit : « la pauvre, elle n’a pas vécu ; elle s’est privée toute sa vie pour faire des économies dans le but d’en profiter plus tard, etc. »

Bien entendu, dans l’instant, tout le monde se dit : « à partir de maintenant, je vais profiter de la vie, je ferai plus de choses. » Belle résolution, n’est-ce pas ?
Le problème, c’est que cela ne dure que l’espace d’un instant. Bien vite, les mauvaises habitudes reprennent le dessus. Vous continuez à faire des économies, bien plus qu’il n’en faut d’ailleurs ; vous vous restreignez ; vous vous refusez certains plaisirs comme aller au restaurant plus souvent, comme vous acheter des vêtements, etc. ; vous reportez à plus tard le fait de passer du temps avec votre famille en vous disant que vous vous rattraperez quand vous arrêterez votre activité, etc.

Mais pourquoi agissez-vous comme cela ? Tout simplement parce que vous vous inquiétez de l’avenir. Vous voulez, par exemple, amasser de l’argent, pour pouvoir en profiter plus tard. Mais quand le « plus tard » arrive, bien souvent vous vous dîtes : « je ne vais pas dépenser tout mon argent parce qu’on ne sait jamais ce qui va arriver ». En agissant de cette façon, vous êtes pris dans une spirale infernale qui finalement vous aura privé de bonheur, de joie, de petits plaisirs. Peut-être que vous n’en avez pas réellement conscience mais ce qui est certain c’est que vous aurez vécu une vie pleine de frustrations, de restrictions…

Que faire alors ? La solution est simple et évidente. Il faut vivre le moment présent sans trop se préoccuper de l’avenir. Le bonheur se vit ici et maintenant. Certes, penser à l’avenir est important. Mais, à partir du moment où vous avez mis en place de « bonnes fondations » (par exemple, gérer son budget sérieusement sans excès d’avarice ni de gaspillage, etc.), votre avenir ne pourra qu’être bon, donc pourquoi s’en préoccuper.

Libérez-vous de votre peur de l’avenir. Vivez en harmonie avec le présent. Sachez jouir des petits moments de bonheur qui s’offrent à vous chaque jour.
La peur de l’avenir ne peut qu’être source d’inquiétudes, de stress. Les personnes qui ont cet état d’esprit (elles sont nombreuses, c’est peut-être vous d’ailleurs) ne peuvent qu’être malheureuses.
A la fin de leur vie, elles ne pourront que s’en mordre les doigts, regretter de ne pas avoir assez profité de la vie.

Bien entendu, profiter de la vie ne signifie nullement faire des choses extravagantes, qui coûtent cher, cela ne signifie pas dépenser tout son argent. Cela signifie tout simplement ne pas s’interdire de faire des choses simples. Le bonheur ce n’est pas nécessairement faire de grands voyages, aller dans des hôtels 5 étoiles, c’est tout simplement une réunion familiale, une promenade avec son conjoint, un jeu avec ses enfants, etc.

A partir du moment où vous avez compris cela, c’est gagné !
Délectez-vous du moment présent et l’avenir ne sera que meilleur !

Co-auteurs : BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy

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jeudi 10 mai 2007

NON !!!!

Qui n’a jamais vécu la situation dans laquelle vos lèvres disent oui alors que votre cerveau pense non ?

Pourquoi, dans ce cas, dites-vous oui ?
- Par peur de décevoir vos interlocuteurs, votre entourage, votre patron, par exemple. Vous avez le droit de refuser quelque chose à vos enfants, de refuser de faire quelque chose pour votre patron.
- Par peur d’être considéré comme quelqu’un de méchant, d’asocial, d’égoïste
- Par timidité
- Par manque de confiance en vous.

Avoir peur de dire non a des conséquences fâcheuses sur votre vie :
- Il peut en résulter un sentiment de mal-être, d’infériorité, de culpabilité, du stress
- Lorsque vous faites toujours ce que les autres décident pour vous, cela revient à laisser les autres décider de votre vie
- Bref, vous vivez dans un inconfort dont vous êtes seul responsable.

Pourtant des solutions existent pour vous en sortir :
- Vous pouvez d’abord vous exercer à dire non, dans des situations simples puis plus compliquées. Au fur et à mesure, vous constaterez que ce n’est pas si difficile de dire non : c’est le premier « non » qui coûte.
- Vous pouvez aussi utiliser la technique de la visualisation : peser le pour et le contre. Demandez-vous quelles pourraient être les conséquences de votre refus ou de votre acceptation. Peut-être que le non serait moins préjudiciable en fin de compte.
- Bien sûr, vous devez combattre votre manque de confiance en vous, votre timidité. Apprenez à vous affirmer, à imposer votre opinion personnelle, vos avis. Vous devez toujours chercher à rester vous-même. Vous ne devez pas avoir peur d’avoir une opinion différente des autres (il n’est pas obligatoire de suivre l’opinion de la majorité)
- A chaque fois que vous dites non, expliquez-en le pourquoi : une explication saine et constructive ne blessera nullement la personne à qui vous dites non. Il est important de ne pas s’enfermer dans les non-dits (sans faire de jeu de mots)
- Vous ne devez pas oublier que ce n’est pas parce que vous dites non que vous n’aimez pas la personne à qui vous le dites. De même, la personne à qui vous dites non ne cessera pas de vous aimer pour çà (à condition d’expliquer votre refus)

Tout cela fonctionne à condition d’assumer votre non c'est-à-dire être capable de vous y tenir. Un oui ou un non sont des engagements, vous devez les respecter. Maintenant que vous savez dire non, vos oui auront plus de poids, plus de valeurs. Votre entourage saura dorénavant que votre oui est « sincère et réfléchi » et non plus machinal comme avant.
Allez-y, répétez dans votre tête régulièrement la phrase suivante : « J’ai le droit de dire NON ! »


Co-auteurs : BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy



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mercredi 9 mai 2007

La concentration, le fondement premier de la réussite

Certaines personnes arrivent à travailler dans le bruit, à écrire des livres avec de la musique, à écrire de fabuleux discours avec une foule autour d’eux, à battre des records dans un stade survolté ou hostile. Comment y parviennent-ils ?
Ils y arrivent grâce à leur pouvoir de concentration.
Ils arrivent à s’isoler, à rentrer en quelque sorte au plus profond d’eux-mêmes.
La concentration c’est le pouvoir de se focaliser sur une chose précise en faisant abstraction de tout ce qui nous entoure, c’est le contrôle mental de son corps et de son esprit.

La concentration est nécessaire à l’Homme pour avancer, pour réussir plus sûrement et plus rapidement, pour atteindre plus facilement ses objectifs. La concentration permet de ne pas se disperser dans tous les sens (« façon puzzle ») et de ne pas perdre de vue l’essentiel, le but à atteindre. Il est toujours difficile d’effectuer correctement plusieurs choses à la fois.
L’homme qui sait se concentrer, qui se focalise sur son travail ou sur sa tâche à accomplir, réussira. Il ne sera pas perturbé par des éléments extérieurs qui l’empêcheront d’avancer. Il fera le bonheur de son employeur, de ses associés car il accomplira son travail sans discontinuer et surtout avec plus de rapidité, plus de rendement.
Mais le pouvoir de la concentration n’est pas uniquement utile dans la vie professionnelle. Dans la vie privée, sociale, c’est également un allié précieux. Elle permet d’éviter de tomber dans la déprime en chassant de notre esprit les idées noires. Si ces dernières ont la mauvaise idée de s’immiscer dans notre cerveau, il suffit de se concentrer sur une pensée positive, gaie, pour la faire disparaître immanquablement. Si on est fatigué mentalement, au bout du rouleau, il faut effectuer une activité comme la lecture, la peinture… En se concentrant dessus, on constate que le cerveau se régénère, que les vilaines pensées disparaissent ou sont moins présentes. Certes, la pensée obsédante est encore là dans un coin du cerveau mais elle est moins prenante, moins paralysante et n’empêche plus d’avancer.

La concentration, c’est juste une question de volonté et de pratique. Certains y arrivent facilement (chez eux, c’est un réflexe inné), d’autres plus difficilement. Ces derniers doivent apprendre la technique et s’entraîner régulièrement.
Pour ce faire, il y a deux règles essentielles :
- s’isoler du monde extérieur, ne pas être perturbé par des éléments externes.
- contrôler parfaitement son corps et son esprit. L’esprit doit contrôler le corps et l’esprit doit, lui, être contrôler par la volonté. Ce sont ces trois éléments indissociables qui permettent d’atteindre la concentration parfaite.

Finalement, l’essentiel est d’exécuter chaque activité sans avoir l’esprit ailleurs. Cela permet d’être alors satisfait de soi-même car la tâche aura été parfaitement accomplie. Le travail, même le plus banal, même le plus ingrat, aura été réalisé sans se disperser, sans perdre de temps inutile à penser à différentes choses bien souvent négatives.
Toute la puissance de la pensée, de la volonté se dirigera toute entière vers un point précis ; il est donc normal que le succès soit au rendez-vous.

Concentrez-vous et vous réussirez !


Co-auteurs : BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy



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mardi 8 mai 2007

Dans la tempête, gardez le cap et faites des pauses…

Il faut toujours garder le cap quand vous désirez quelque chose. Vous ne devez jamais vous départir de vos objectifs. Surtout, il ne faut jamais agir avec précipitation, avec hâte. Il faut toujours réfléchir avant d’entreprendre. Bien sûr, si vous manquez de confiance en vous, si vous n’êtes pas sûr de vous, si vous n’avez pas mûrement réfléchi votre projet, vous n’arriverez à rien. Et, surtout, vous aurez la fâcheuse tendance à faire les choses trop vite par crainte d’être considéré comme quelqu’un qui n’agit pas. Agir ne veut pas dire faire n’importe quoi. Effectuer diverses choses « inutiles » en même temps dans l’unique but de montrer qu’on ne reste pas là à ne rien faire, ne sert à rien et est même source d’échecs à tous les coups.

La base de votre réussite, c’est votre confiance en vous. Si vous vous dîtes : « Je suis nul, je suis un raté, je n’arriverai à rien », hé bien, vous serez ce que vous pensez. Ces habitudes de pensées ne vous quitteront pas de sitôt et vous amènerons immanquablement à l’échec. La solution ? Il faut changer vos anciennes habitudes et en prendre de nouvelles. Comme vous avez pris l’habitude de vous dévaloriser constamment, il faut, a contrario, prendre l’habitude de vous dire que vous êtes fort, que vous êtes le meilleur, que vous pouvez accomplir de grandes choses. En modifiant l’image que vous avez de vous, vous modifierez l’image que les autres ont de vous. Et plus rien ne pourra vous résister.

Ainsi, tout dépend de votre attitude mentale. Les choses iront mal si vous allez mal. Certes, malgré votre optimisme, il arrive que cela n’avance pas comme vous voulez. Bien souvent, vous vous obstinez, vous vous enfermez dans vos problèmes, vous êtes stressé… Vous voulez absolument que votre projet avance mais, malgré les heures passées dessus, rien n’y fait : vous restez au point mort. Pire, vous vous découragez, vous vous désespérez.

Or, la solution est simple. Il suffit que vous fassiez une pause, que vous marchiez quelque temps, que vous partiez en week-end même. Et, vous verrez : aussi curieux que cela puisse paraître, votre problème sera résolu à votre retour. Bien entendu, tout ceci n’est possible qu’à la condition que vous soyez sûr de vous, que vous ayez foi en votre projet, que vos pensées soient toutes entières tournées vers cet objectif.

En fait, cette petite pause, ce petit break va simplement vous relaxer, vous destresser et vous irez mieux, tout bonnement. Votre attitude mentale aura changée… La paix sera en vous. Le calme et l’apaisement vous rendront plus fort, plus puissant et vous pourrez déplacer des montagnes. Vous verrez les choses de manière plus positive.

Co-auteurs : BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy

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dimanche 6 mai 2007

C’est pas de ma faute

Si vous êtes malheureux, dépressif ; si vous manquez de confiance en vous ; si vous n’arrivez pas à communiquer, etc…, à qui la faute ?
Je suis sûre que la première chose que vous répondez c’est : « C’est pas moi, c’est les autres ; ils ne m’aiment pas, ils ne veulent pas me parler, ils me rejettent continuellement… ».

Hé bien non, je vous le dis et je vous l’affirme : tout ce qui arrive dans votre vie, c’est de votre faute ! Bien sûr, c’est difficile à admettre mais c’est la réalité. Vous n’en êtes peut-être pas conscient mais c’est bien réel.
D’ailleurs, l’inconscient joue un rôle important dans votre mal-être général. En effet, vous savez parfaitement que vous allez mal, que quelque chose ne va pas dans votre vie, que vous êtes bloqués dans certaines situations, que vous passez à côté du bonheur, de la rencontre qui pourrait changer toute votre vie…
Mais vous ne savez pas d’où cela vient. Vous ressentez les choses mais vous n’en connaissez pas les causes.
Et justement, si vous désirez vivre mieux, vous devez trouver la cause de ce mal-être.

Comment procéder ?

Faites une introspection en vous-même et surtout apprenez à vous remettre en cause. Sans cette démarche primordiale, vous n’arriverez à rien !
Prenez de nouvelles habitudes. La première d’entre-elles, et la plus importante pour l’instant, c’est de, tous les jours, prendre 5 à 10 minutes pour vous remémorer votre journée et les événements « malheureux » qui vous sont arrivés et d’analyser tout cela. Cet examen consiste à savoir pourquoi telle chose vous est arrivée, pourquoi vous n’avez pas pu adresser la parole à quelqu’un, pourquoi vous avez le sentiment que personne ne vous aime, etc…
A force d’effectuer ce travail sur vous, vous finirez par comprendre les causes de votre mal-être. Peut-être est-ce votre enfance qui en est la cause première, vos parents ne vous ont peut-être pas suffisamment aimé. Peut-être avez-vous pris la mauvaise habitude de vous poser en victime dans le but de vous faire plaindre, de vous faire dorloter. Mais ceci n’a qu’un temps, à force un vrai mal-être s’installe et nuit à votre vie.
Si ce travail de recherches est bien mené, il ne vous restera plus qu’à reprendre votre vie en main, en adoptant de nouvelles habitudes afin de ne plus être une victime mais quelqu’un qui vit réellement, qui reprend le dessus, qui participe vraiment à sa vie, qui l’organise comme il le souhaite.
Mais attention, ceci ne se fera pas du jour au lendemain. Rappelez-vous : il faut faire un travail sur vous très régulièrement. Il faut toujours aller de l’avant et rester vigilant afin de ne pas retomber dans vos anciens travers.

Grâce à votre persévérance, vous vivrez pour vous-même. Vous serez donc plus heureux, plus joyeux. Vous ne dépendrez plus des autres. Vous vous affirmerez en tant que personne libre et indépendante. Le plaisir, le bonheur, le bien-être feront désormais partie de votre vie. Votre vie sera telle que vous la désirerez.

Co-auteurs : BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy



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samedi 5 mai 2007

Grandissez ou mourez !

Savez-vous que vous êtes en possession d’un pouvoir illimité, qui permet de grandir, de se développer sans limites ? Ce pouvoir immense, c’est votre subconscient. Vous devez l’utiliser à bon escient pour évoluer, pour accroître vos capacités.
Si vous n’avancez pas, ne progressez pas, vous reculez, vous régressez. Les seuls qui ne bougent plus sont au cimetière ! Votre cerveau, votre âme au lieu de se développer va s’atrophier et dépérir.

Chaque être est spécial, chacun peut être un génie ou un héros car nous sommes tous nés avec les mêmes capacités mais tout dépend de notre attitude mentale. Tout ce à quoi l’homme peut rêver, il peut le réaliser.
L’hérédité n’est pas un problème : vous avez autant de pouvoir qu’un autre. Vous pouvez changer votre vie comme vous le souhaitez : avoir une vie d’abondance aussi bien sur le plan financier que familial, avoir une bonne santé, recevoir de l’amour, du bonheur, bref être heureux.
Mais, pour cela, vous devez continuer toute votre vie à apprendre, à chercher à être une meilleure personne, à vous améliorer.
Tout d’abord, vous devez prendre conscience de votre propre pouvoir, puis choisir ce que vous voulez devenir. A partir de là, vous pourrez commencer à avancer vers votre but, sans vous décourager, quels que soient les obstacles. Dans le même temps, vous devez créer une image mentale de ce que vous voulez être et la visualiser tous les jours en la ressentant au plus profond de vous-même.

Vous ne devez pas oublier que nourrir votre corps ne suffit pas, vous devez aussi et surtout nourrir votre esprit. Pour vous aidez, vous pouvez, par exemple, lire des livres sur le développement personnel, sur la motivation, des histoires de succès, des biographies de « grands hommes », mais également regarder des films motivants.
Pendant votre cheminement, vous ne devez pas juger les autres, chacun accomplit son parcours comme il l’entend.

N’attendez pas d’être grand pour agir comme « un grand homme ». Soyez grand dès maintenant dans vos actes, dans votre comportement, pour toutes les choses quotidiennes, dans votre famille, à l’extérieur, à votre travail, c’est ainsi que vous grandirez.

Co-auteurs : BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy



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jeudi 3 mai 2007

Mettez de la stratégie dans vos affaires

En affaire, comme dans la vie, il faut agir avec rigueur et discipline si on veut réussir.
Dans les affaires, il faut tirer avantage de la moindre opportunité, de la moindre circonstance favorable.
Pour cela, il faut toujours être prêt à agir ou à réagir.

Mais vitesse ne veut pas dire précipitation. Avant de vous lancer à « grande échelle », vous devez faire des tests, des essais.
Une connaissance approfondie du terrain, du potentiel de votre activité, par une très sérieuse et très rigoureuse étude de marché s’impose.
Il faut aussi bien connaître vos atouts (mais aussi vos faiblesses) de même que ceux de vos concurrents. Et ne pas hésiter à utiliser les « bonnes idées » adverses pour vous renforcer, sans bien entendu faire du plagiat.

Tout ces éléments vous permettront d’avoir un plan détaillé de ce que vous allez faire (comment, pour qui, pourquoi ?).
Vous ne devez jamais perdre de vue votre stratégie. Et surtout vous ne devez pas hésiter à la revoir régulièrement et à l’adapter en fonction des circonstances et des réactions des clients (ou des concurrents). En effet, parfois il est nécessaire de changer ses plans en cours de route. Dans ce cas, il est indispensable de prendre en compte avant le moindre changement les avantages et les inconvénients possibles de ce dernier (en minimisant les avantages et en maximisant les inconvénients). Ainsi vous transformerez vos erreurs en chances.

Enfin, pour réussir mieux que les autres, il faut vous démarquer, il ne faut pas ressembler aux autres (d’où la nécessité de bien connaître la concurrence et le marché). Pour cela, vous devez « appâter » le client ou le déconcerter par quelque chose de différent.

Il est nécessaire parfois de ruser, d’user d’artifices envers vos concurrents afin de leur cacher votre stratégie (qui doit toujours rester secrète).
Alors que, bien entendu, le client lui ne doit jamais au grand jamais être lésé ou trompé. Si vous voulez conserver votre réputation et votre clientèle, vous devez toujours sous-promettre et sur-donner.

En toute occasion, quel que soit les choix que vous aurez faits, vous devrez rester calme et déterminé.

Co-auteurs : BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy



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mercredi 2 mai 2007

Pour réussir, soyez en bonne santé !

La santé est un bien précieux, il ne faut pas la gaspiller. Dès le plus jeune âge, il faut la préserver en menant une vie saine, équilibrée. La force physique, la vitalité, presque naturelles quand on est jeune, disparaissent immanquablement dans la force de l’âge si l’on est négligent, si l’on ne fait pas attention à sa santé.
Vous devez absolument éviter de gaspiller votre potentiel physique en buvant trop d’excitants, de l’alcool, en prenant des drogues. Vous devez manger sainement, éviter de prendre du poids, dormir suffisamment. Ces habitudes de vie ne pourront qu’être bénéfiques dans votre avenir : elles engendreront la réussite professionnelle et la longévité. « Qui veut voyager loin, ménage sa monture », nous dit le proverbe.
Ne négligez pas votre santé, elle est la base de votre réussite !

A bas l’anxiété inutile !
Etre inquiet pour des broutilles, ne pas savoir se déconnecter de ses soucis professionnels peut avoir des conséquences néfastes sur votre état physique : l’anxiété, le stress entraînent l’irritabilité, l’insomnie qui entraînent, à leur tour, fatigue, manque de lucidité, déconcentration, baisse de tonus et d’énergie. Bref, l’inefficacité au travail devient inévitable. Ce ne sont pas les excitants, les drogues qui amélioreront les choses, bien au contraire. L’anxiété incessante entraînera une déchéance physique rapide (rides, cheveux blancs) et une déchéance morale (morosité qui bloque la créativité, la réflexion).
Comment lutter ? L’anxiété n’atteint pas les personnes en excellente santé, les personnes heureuses, optimistes, pleines d’espérance.
Alors, pensez positif, soyez moins anxieux, et cela décuplera votre force, votre vitalité et engendrera votre réussite.

Considérez votre corps, votre santé comme un objet de réussite, de victoire
Luttez contre la tendance qu’ont beaucoup de considérer le moindre bobo comme la fin, comme le début de la déchéance. Surmontez votre inquiétude à ce sujet. Ne voyez pas tout en noir. Votre corps, vos organes sont vos alliés, non vos ennemis. Vous devez les penser comme étant à vos côtés comme des gages de votre réussite. Soignez une bonne fois pour toute les affections qui vous empoissonnent la vie de tous les jours, style rage de dent, ongles incarnés…, et vous n’y penserez plus.
Ne succombez pas continuellement à la paresse. Soyez actif. L’activité c’est la vie, l’oisiveté, la mort. Ne vous dîtes « je suis fatigué, je vais me reposer sur mon fauteuil quelque temps », battez-vous, surmontez votre laisser-aller. Prenez l’habitude de ne pas répondre à cette tendance très dangereuse qui affectera inévitablement votre mental. Tout le monde à des coups de pompe mais évitez d’y succomber, relevez-vous, occupez-vous, rencontrez des gens, marchez, prenez l’air frais et le « mal » disparaîtra. Ou s’il s’agit d’une réelle fatigue, débarrassez-vous en en faisant une micro-sieste (20 minutes suffisent) ou en bénéficiant d’une séance de Massage assis (qui détend et réénergise en 15 minutes).
Soyez le maître de votre esprit, de votre corps !

Visualisez-vous en bonne santé et vous le serez !
Voyez les malades imaginaires, les hypocondriaques, comme ils sont malheureux, comme ils ne vivent plus. Ne vous imaginez pas avoir des maladies. Remplacez vos pensées morbides par des pensées positives, joyeuses et vous verrez que vous vous sentirez mieux. Utilisez, par exemple, la méthode Coué : « chaque jour et à tout point de vue, je vais de mieux en mieux ».

Mens sana in corpore sano ! (Un esprit sain dans un corps sain)
Certes, il faut nourrir son cerveau par les études mais sans énergie, sans vitalité, le cerveau se vide, s’épuise et on est voué à l’échec. Le stockage des informations dans le cerveau ne suffit pas, il faut du carburant pour qu’il soit efficace. Ce carburant c’est la nourriture saine, l’activité physique, les loisirs.

Un corps et un esprit en pleine forme vous permettront une plus grande concentration et une plus grande force de travail. Ainsi, vous pourrez réagir plus rapidement et profiter plus facilement des opportunités. Rien ne marche sans une bonne santé. Préservez-la, chouchoutez-la. Vous ne serez que plus optimiste, plus joyeux, plus performant, plus maître de vous-même, plus enthousiaste.



Co-auteurs : BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy



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mardi 1 mai 2007

Apprenez à corriger vos défauts pour vivre mieux

Vous vous sentez mal-aimé, vous connaissez l’échec, le malheur, vous être timide, mal dans votre peau, vous avez peur de mal faire, de l’échec…
Généralement, la cause de tout ceci est la faiblesse du Caractère : vous êtes ce que vous pensez ! Donc, pensez autrement, pensez positif et vous améliorerez votre vie, votre situation professionnelle et familiale, vous connaîtrez le bonheur.

Comment faire ?
Apprenez à fortifier votre caractère : le remède apparaît à la fois simple et compliqué.
Voici comment y arriver : la première chose à savoir c’est que le bonheur ou le malheur, le succès ou l’échec sont créés par vos pensées intérieures et secrètes (ou votre Moi intérieur et secret). Elles déterminent vos attitudes, vos actes.
Pour connaître votre Moi intérieur, pour améliorer vos défauts, vos mauvaises pensées, il faut savoir vous auto-analyser, c’est-à-dire méditer vos actes et pensées, connaître vos défauts cachés (cela doit se pratiquer régulièrement, dans un lieu calme, sans être dérangé). Une fois cette connaissance acquise, vous devez désirer sincèrement vous améliorer.
« Celui qui se connaît est seul maître de soi », Ronsard.

La marche vers la « guérison » passe donc par le Force de Volonté, la maîtrise de soi : vouloir réussir est le meilleur gage de la réussite !
Pour acquérir une Force de Volonté supérieure, vous devez utiliser pleinement votre subconscient : avant de vous endormir, concentrez-vous sur ce que vous voulez changer, imaginez-vous possédant cette nouvelle qualité et ressentez-en les bienfaits futurs.

Dernier conseil : procédez par étapes, commencez par de petites choses, par vouloir améliorer de petits défauts (un seul à la fois !) pour obtenir de petites victoires, pour retrouver confiance en vous. En avançant pas à pas (technique du Kaizen), votre esprit acceptera plus facilement le changement. Vous serez préparé à franchir de plus grands obstacles, donc à obtenir de plus grandes victoires, du succès en abondance !

« Celui qui est le maître de lui-même est plus grand que celui qui est le maître du monde », Bouddha
Les défauts enracinés en vous, qui vous empêchent d’avancer, de connaître le bonheur disparaîtront.
Soyez tenace et vous réussirez !



Co-auteurs : BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy




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lundi 19 mars 2007

Bienvenue !!

Bienvenue sur le blog de Katisa Editions ©

Ce blog a été créé pour vous faire patienter en attendant la naissance de notre site officiel.

Sur le site :

- vous apprendrez, par exemple :

  • comment développer votre vitalité, votre influence personnelle, vos dons, votre mémoire
  • les meilleurs moyens pour conserver votre moral, être toujours souriant et positif
  • comment faire travailler votre cerveau pendant votre sommeil, comment rajeunir, comment lutter contre vos faiblesses, comment vous débarasser de vos migaines
  • l'art de la concentration, l'art de la stratégie, l'art de la réussite, l'art de l'influence, l'esprit de décision
  • le pouvoir du calme, le pouvoir d'un sourire, le pouvoir de l'esprit
  • des moyens de devenir riche, les secrets du succès
  • la puissance de votre pensée, de votre imagination...

- vous trouverez aussi :

  • des pensées positives
  • et pleins d'autres choses encore....

- vous aurez droit régulièrement à des cadeaux gratuits.

Si le contenu de mon futur site vous intéresse ou si vous avez des idées ou des conseils pour l'améliorer, laissez moi votre e-mail en "commentaires" et je vous informerais de sa naissance.

Article publié

Soyez optimiste 24 h/24 !

Etre optimiste n’est pas plus dur qu’être pessimiste.
MAIS l’optimisme rapporte plus que le pessimisme. Il attire le bon et repousse le mauvais.
Il permet de franchir des montagnes, de vaincre tous les obstacles rencontrés tout au long de la vie.
Voyez la vie en rose et soyez toujours souriant ! Cela vous permettra d’être d’un abord plus agréable et attirera à vous de nombreuses personnes qui pourront vous apporter leur aide. Le sourire est un aimant : les gens viennent à vous plus facilement. Forcez vous à sourire en toute circonstance et vous combattrez ainsi la déprime.
Ayez des pensées positives, généreuses pour vous mais aussi pour les autres : ne voyez pas toujours le mal partout, ne vous focalisez pas sur leurs défauts mais allez à la recherche de leurs qualités. Imaginez-les comme vous aimeriez qu’ils soient et ils le deviendront. Semez de l’amour autour de vous et le monde sera à vos pieds.
Passons à la pratique :
Pour commencer la journée du bon pied, dès votre réveil, lisez des pensées motivantes, écoutez de la musique entraînante, souriez à la vie.
Tout au long de la journée, dîtes bonjour à toutes les personnes que vous rencontrez, continuez à sourire, essayez de rire au moins dix minutes par jour.
Le soir, revoyez votre journée et retirez-en trois moments agréables pour rester sur une note positive.
Avant de vous endormir relisez quelques pensées motivantes, comme par exemple :
"Je vis ce jour comme s’il s’agissait de mon dernier."
"Aujourd’hui est le premier jour du reste de ma vie."
"La résolution que j’ai prise de devenir un optimiste me rend déjà plus satisfait de vivre."
"Je parlerai et agirai toujours en optimiste, certain que je rendrai chacun plus heureux autour de moi, en étant joyeux et prononçant des paroles encourageantes."
"Le monde et tout ce qui s’y trouve, déjà me paraissent plus beaux."
"Oh ! Je suis si gai et si heureux. J’aurai un regard et un mot aimable pour chacun aujourd’hui."
"Je m’efforcerai de faire en sorte qu’au moins une personne se sente plus satisfaite après m’avoir rencontré aujourd’hui."
"Hurrah ! Je suis libre ! Je suis heureux et joyeux."
"Je suis un optimiste dans toute l’acception du mot, cultivant l’optimisme pour développer l’optimisme."
A vous de jouer ! Propagez l’optimisme autour de vous !